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Extrait
« je tiens à apporter mon témoignage, en temps que mère et citoyenne, mais également en temps que médecin »
« Comment gérer les particularités de chacun avec des classes qui débordent ? Le projet d’interdire l’instruction en famille ne risque-t-il pas d’engorger encore plus un système scolaire déjà « plein » ? »
« Professionnellement, le projet de n’accorder cette liberté que sous condition médicale m’interroge : quelles seraient ces dérogations ? Pathologies précises, ou liberté laissée au médecin de famille d’évaluer le besoin de l’enfant ? »
« Les énormes avancées de ces dernières années en neuroscience nous ont appris la nécessité de s’adapter à l’enfant qui est unique, à son développement qui ne suit pas une ligne droite identique pour chaque enfant. L’instruction en famille n’est pas accessible à tous et va rester marginale, c’est une chose certaine. »
« Les enfants instruits en famille que j’ai pu suivre sont dans ma patientèle des enfants calmes, sereins (on le voit à leur comportement quand il s’agit de « subir » un vaccin par exemple), bien suivis sur le plan médical (ce qui sous-entend des parents attentifs). »
« Si bien sûr comme dans tout échantillon social il y a des déviances, je ne les connais ni personnellement, ni professionnellement. Peut-on être sûr que l’école empêcherait à coup sûr toute déviance ? »
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