Une circulaire datée du 5 janvier 2023 ( lien ici ) vient rappeler que la loi N°2021-1109 du 24 août 2021 "confortant le respect des principes de la République" prévoit la création d'une instance départementale de prévention d'évitement scolaire et que celle-ci doit rapidement être mise en place. Celle-ci vise à vérifier que chaque enfant est inscrit dans une école ou bien a reçu l'autorisation pour l'instruction en famille. Pour cela est organisé un recoupement d'informations entre les académies, les élus locaux (mairies donc), CAF, services du département, etc. Un identifiant national unique est donné à chaque enfant pour s'assurer du suivi. L'instance travaille en collaboration avec la cellule de lutte contre l'islamisme radical et le repli communautaire. Si un enfant concerné par l'obligation scolaire (3 à 16 ans ; 3 ans ou un peu moins puisque l'obligation scolaire commence en septembre de l'année des 3 ans) n'est pas i...
Très souvent, vous m'interrogez à propos de la phobie scolaire car malheureusement de nombreux enfants sont concernés.
Sur ce blog, vous pourrez retrouver la chaine des Fusional Sisters, l'une d'elle a souffert de phobie scolaire (lien ici).
Aujourd'hui D. nous propose de découvrir l'expérience de son fils et comment elle l'aide à se reconstruire. Merci encore à toi, D. !
Quelques sous-titres ajoutés en bleu par moi afin de mettre en relief ce précieux témoignage.
"Le traumatisme est encore là et pourtant cela va bientôt faire deux ans que le tsunami de la phobie scolaire est arrivé chez nous.
À la rentrée de janvier 2018, mon fils Y. en classe de CE1, n’a plus réussi à aller à l’école. Il avait perdu l’appétit, il n’arrivait pas à s’endormir, c’était des crises de nerf et de larmes jusqu’à ce que je le rassure en lui disant « ok demain tu n’y vas pas »... et là son visage tout crispé, livide et d’une blancheur incroyable, se détendait, son corps se relâchait et il s’endormait en quelques minutes... quelques fois le soir, il s’endormait plus au moins bien mais le lendemain matin impossible de se préparer... impossible de se réveiller aussi... des supplications pour ne pas aller à l’école...
Lorsque je prononçais le mot école c’était la panique, il se raidissait et se fermait directement, le visage rempli de peur.
Je me disais déjà que ce n’était pas normal de réagir comme ça... d’être dans une telle souffrance face à ce qui normalement devrait être un plaisir... oui apprendre pour un enfant doit être un plaisir... S'il n’a pas de plaisir enfant, comment vivra-t’il sa vie d’adulte ? Comment trouver le plaisir dans ce qu’il fera?
Des normes pesantes qui incitent à se faire violence
Par obligation envers la société et par les croyances normatives familiales, j’ai forcé mon petit garçon de 7 ans à aller à l’école, je l’ai tiré pour qu’il avance, il s’accrochait aux barreaux des clôtures des maisons voisines, il criait, je le traînais, il pleurait, il hurlait... c’était une épreuve horrible pour moi... je m’en excuse encore aujourd’hui auprès de lui... c’était un traumatisme supplémentaire qu’il n’avait pas besoin de vivre... mais je ne savais pas... personne pour m’aider à comprendre ce qu’il se passait... ni les professeurs ni le directeur ni le médecin généraliste ni le psychologue scolaire ne m’ont donné d’explication ... ni n'ont su me diriger vers tel ou tel spécialiste... j’étais seule à essayer de trouver une solution concrète et non toute faite.
La phobie sans harcèlement... mais ennui et hypersensibilité au rendez-vous
On a essayé de voir si il y avait du harcèlement par d’autres camarades... non... mais un énorme ennui en classe, il ne supportait plus le bruit... n’arrivait plus à se concentrer.... par contre un point que j’ai compris un peu tard car on fait toujours confiance aux institutions... sa classe de CE1 était encadrée par deux nouveaux professeurs, qui venaient d’être catapultés dans cette classe alors qu’il y avait apparemment de nombreux enfants « perturbateurs »... ces deux professeurs n’ont pas su tenir leur classe, ils étaient démunis sans aucun outil pour les aider à gérer et à comprendre 29 enfants en même temps, ils étaient tellement perdus que l’un d’eux criait et insultait les enfants avec de « vrais » gros mots... j’ai su après que cette personne a été virée... mais le mal était fait pour mon fils... même si ce n’était pas lui qui était visé par les insultes, il les prenait pour lui... son hyper empathie et son hypersensibilité étaient sans filtre pour ces émotions vécues. On peut dire aujourd’hui qu’il a fait un "burn out" car pendant 6 mois il était dans l’incapacité de tenir un crayon et le seul mot "école" le paniquait...
Évidemment cet événement des professionnels hurlant en classe n’est qu’un élément du déclenchement de la phobie scolaire. Les réactions de mon fils m’ont mise en face de sa haute sensibilité... et d’autres troubles avérés par la suite... mais passés inaperçu avant cela.
Enfin l'espoir avec une association de phobie scolaire!
J’avais entendu vaguement le mot phobie scolaire mais sans me dire que cela pouvait être ça... puis un soir d’avril j’étais dans un tel désespoir et démunie que j’ai inscrit le mot phobie scolaire sur internet...et là je suis tombée sur le site de l’association Phobie scolaire... une lueur d’espoir... je leur ai envoyé un mail expliquant la situation et dès le lendemain une correspondante régionale m’a appelée... quel soulagement d’entendre que nous ne sommes pas seuls, quel plaisir d’être entendue, soutenue... non jugée...
Puis j’ai accédé au groupe privé où la bienveillance et l’écoute reçues font du bien quand on est dans un tel désespoir en tant que parent. Ce sont des parents bénévoles qui ont encore des enfants en souffrance qui sont là pour nous aider. L’entraide est très présente dans l’association, on y trouve des témoignages qui nous donnent de l’espoir, d’autres dans lesquels on se retrouve... des parents partagent des pistes de thérapie (TCC, EMDR, sophrologie, kinesiologie...), des articles sur les différentes atypies (les dys, haut potentiel, asperger, hypersensible, TDAH...). Ces partages nous montrent un chemin, des pistes de recherches et de compréhension dans la souffrance de nos enfants. Les correspondants régionaux nous partagent des listes de professionnels de confiance qui connaissent la phobie scolaire. Car ce n’est pas un mal être compris par tous les professionnels. D’ailleurs il est très important de bien choisir son médecin ou praticien afin qu’il ne nous enfonce pas plus dans une culpabilité profonde. Car déjà avec ce tsunami, la culpabilité est très présente chez tout parent qui se retrouve face à la phobie scolaire. J’en ai subi quelques uns dans cette lignée avant l’association...
Effectivement la phobie scolaire est un symptôme déclencheur d’un mal être, cela peut être dû à du harcèlement ou à une neuro-atypie ( dyspraxie, dyslexique, dysorthographie... autiste asperger... hypersensibilité... haut potentiel, TDAH... ). C’est pourquoi il faut souvent aller plus loin dans les bilans... car quelques fois si certain résultats ne nous parlent pas complètement, ne pas hésiter à chercher ailleurs... pour mon fils par exemple je n’ai pas encore fait tous les bilans nécessaires car il est encore dans un état de fragilité accrue. Je n’ai pas encore toutes les réponses mais déjà avec toutes les découvertes faites au sein de l’association je sais où je vais. Ce qui est incroyable aussi c’est qu’à travers toutes les expériences, les témoignages, les articles partagés, on se découvre nous parent, on se comprends mieux à travers tout ça...
Le chemin est long, les blessures sont profondes mais j’ai préféré tout stopper avant une catastrophe. Car comme le dit si bien la citation phare de l’association phobie scolaire : « c’est l’enfant avant l’élève » !
L'instruction en famille pour reprendre pied
C’est pourquoi en mai 2018, j’ai décidé d’instruire en famille tous mes enfants. J’ai 4 enfants, le petit dernier n’était pas encore en âge d’être scolarisé. Mais les 2 autres, à travers mes découvertes et mes compréhensions via l’association phobie scolaire, j’ai compris que les grands étaient également en souffrance scolaire. Ils ne l’exprimaient pas de la même façon mais au vu des situations et de leurs comportements tout s'est éclairé pour moi ! Mon grand d’ailleurs, une fois ma décision prise avec l’accord de mon mari, m’a exprimé son soulagement, il m’a dit « heureusement que tu m’as fait arrêter d’aller au collège sinon j’aurais pensé au suicide »...
Aujourd’hui mes deux plus grands 14 et 12 ans sont instruits en famille et suivent les cours sur Cyberclasse, des cours avec des professeurs en vidéoconférence avec des camarades de classe comme eux à distance.
Y. a repris goût dans ses apprentissages et en lui-même grâce aux kits pédagogiques « Des ailes pourapprendre » de Isa Lise (à découvrir en cliquant ici).
L’instruction en famille les a libéré d’un poids, ils reprennent confiance en eux et en leur capacité d’apprentissage, ils évoluent à leur rythme, Leur hypersensibilité est respectée et comprise... ils peuvent être eux-mêmes ! J’ai eu d’ailleurs plusieurs retour de mon entourage qui trouvait mes enfants épanouis depuis l’instruction en famille... quel soulagement de savoir que le bon choix a été pris !
Finalement cette phobie scolaire est une richesse incroyable, même si les douleurs et les souffrances sont toujours là. Rien n’est encore gagné, il y a des hauts et des bas, des bilans sont encore à approfondir pour chacun de mes enfants... C’est un chemin de découverte sur nous-mêmes et sur nos fonctionnements internes, autant pour nos enfants que pour nous-mêmes parents. C’est un continuel apprentissage... de découverte de soi !
Clic sur les liens à suivre :
Groupe Facebook Phobie scolaire
Site Phobie scolaire
Kits Des Ailes pour apprendre
Vous aussi vous souhaitez témoigner pour le blog ? N'hésitez pas à m'écrire à apprendreavecbonheur arobe gmail.com
Vous cherchez des outils sur l'instruction en famille, cliquez ici pour télécharger gratuitement votre livret "10 clés pour réussir son instruction en famille", pour découvrir mes autres outils gratuits et mes supports pédagogiques
Découvrez les nouveaux billets en vous inscrivant à la newsletter située en haut à droite du blog : clic sur "S'inscrire".
Sur ce blog, vous pourrez retrouver la chaine des Fusional Sisters, l'une d'elle a souffert de phobie scolaire (lien ici).
Aujourd'hui D. nous propose de découvrir l'expérience de son fils et comment elle l'aide à se reconstruire. Merci encore à toi, D. !
Quelques sous-titres ajoutés en bleu par moi afin de mettre en relief ce précieux témoignage.
"Le traumatisme est encore là et pourtant cela va bientôt faire deux ans que le tsunami de la phobie scolaire est arrivé chez nous.
La peur d'aller à l'école
À cette époque d’ailleurs je ne la nommais pas ainsi... c’était une grande incompréhension... et pourtant il y avait quand même eu des prémices, des petites alertes, des clignotants de mal être pour chacun de mes enfants... j’avais d’ailleurs commencé par quelques bilans fin 2017 en essayant d’aller chercher des réponses...... mais rien de concluant, aucune explication à leur ennui à l’école...À la rentrée de janvier 2018, mon fils Y. en classe de CE1, n’a plus réussi à aller à l’école. Il avait perdu l’appétit, il n’arrivait pas à s’endormir, c’était des crises de nerf et de larmes jusqu’à ce que je le rassure en lui disant « ok demain tu n’y vas pas »... et là son visage tout crispé, livide et d’une blancheur incroyable, se détendait, son corps se relâchait et il s’endormait en quelques minutes... quelques fois le soir, il s’endormait plus au moins bien mais le lendemain matin impossible de se préparer... impossible de se réveiller aussi... des supplications pour ne pas aller à l’école...
Lorsque je prononçais le mot école c’était la panique, il se raidissait et se fermait directement, le visage rempli de peur.
Je me disais déjà que ce n’était pas normal de réagir comme ça... d’être dans une telle souffrance face à ce qui normalement devrait être un plaisir... oui apprendre pour un enfant doit être un plaisir... S'il n’a pas de plaisir enfant, comment vivra-t’il sa vie d’adulte ? Comment trouver le plaisir dans ce qu’il fera?
Des normes pesantes qui incitent à se faire violence
Par obligation envers la société et par les croyances normatives familiales, j’ai forcé mon petit garçon de 7 ans à aller à l’école, je l’ai tiré pour qu’il avance, il s’accrochait aux barreaux des clôtures des maisons voisines, il criait, je le traînais, il pleurait, il hurlait... c’était une épreuve horrible pour moi... je m’en excuse encore aujourd’hui auprès de lui... c’était un traumatisme supplémentaire qu’il n’avait pas besoin de vivre... mais je ne savais pas... personne pour m’aider à comprendre ce qu’il se passait... ni les professeurs ni le directeur ni le médecin généraliste ni le psychologue scolaire ne m’ont donné d’explication ... ni n'ont su me diriger vers tel ou tel spécialiste... j’étais seule à essayer de trouver une solution concrète et non toute faite.
La phobie sans harcèlement... mais ennui et hypersensibilité au rendez-vous
On a essayé de voir si il y avait du harcèlement par d’autres camarades... non... mais un énorme ennui en classe, il ne supportait plus le bruit... n’arrivait plus à se concentrer.... par contre un point que j’ai compris un peu tard car on fait toujours confiance aux institutions... sa classe de CE1 était encadrée par deux nouveaux professeurs, qui venaient d’être catapultés dans cette classe alors qu’il y avait apparemment de nombreux enfants « perturbateurs »... ces deux professeurs n’ont pas su tenir leur classe, ils étaient démunis sans aucun outil pour les aider à gérer et à comprendre 29 enfants en même temps, ils étaient tellement perdus que l’un d’eux criait et insultait les enfants avec de « vrais » gros mots... j’ai su après que cette personne a été virée... mais le mal était fait pour mon fils... même si ce n’était pas lui qui était visé par les insultes, il les prenait pour lui... son hyper empathie et son hypersensibilité étaient sans filtre pour ces émotions vécues. On peut dire aujourd’hui qu’il a fait un "burn out" car pendant 6 mois il était dans l’incapacité de tenir un crayon et le seul mot "école" le paniquait...
Évidemment cet événement des professionnels hurlant en classe n’est qu’un élément du déclenchement de la phobie scolaire. Les réactions de mon fils m’ont mise en face de sa haute sensibilité... et d’autres troubles avérés par la suite... mais passés inaperçu avant cela.
Enfin l'espoir avec une association de phobie scolaire!
J’avais entendu vaguement le mot phobie scolaire mais sans me dire que cela pouvait être ça... puis un soir d’avril j’étais dans un tel désespoir et démunie que j’ai inscrit le mot phobie scolaire sur internet...et là je suis tombée sur le site de l’association Phobie scolaire... une lueur d’espoir... je leur ai envoyé un mail expliquant la situation et dès le lendemain une correspondante régionale m’a appelée... quel soulagement d’entendre que nous ne sommes pas seuls, quel plaisir d’être entendue, soutenue... non jugée...
Puis j’ai accédé au groupe privé où la bienveillance et l’écoute reçues font du bien quand on est dans un tel désespoir en tant que parent. Ce sont des parents bénévoles qui ont encore des enfants en souffrance qui sont là pour nous aider. L’entraide est très présente dans l’association, on y trouve des témoignages qui nous donnent de l’espoir, d’autres dans lesquels on se retrouve... des parents partagent des pistes de thérapie (TCC, EMDR, sophrologie, kinesiologie...), des articles sur les différentes atypies (les dys, haut potentiel, asperger, hypersensible, TDAH...). Ces partages nous montrent un chemin, des pistes de recherches et de compréhension dans la souffrance de nos enfants. Les correspondants régionaux nous partagent des listes de professionnels de confiance qui connaissent la phobie scolaire. Car ce n’est pas un mal être compris par tous les professionnels. D’ailleurs il est très important de bien choisir son médecin ou praticien afin qu’il ne nous enfonce pas plus dans une culpabilité profonde. Car déjà avec ce tsunami, la culpabilité est très présente chez tout parent qui se retrouve face à la phobie scolaire. J’en ai subi quelques uns dans cette lignée avant l’association...
Effectivement la phobie scolaire est un symptôme déclencheur d’un mal être, cela peut être dû à du harcèlement ou à une neuro-atypie ( dyspraxie, dyslexique, dysorthographie... autiste asperger... hypersensibilité... haut potentiel, TDAH... ). C’est pourquoi il faut souvent aller plus loin dans les bilans... car quelques fois si certain résultats ne nous parlent pas complètement, ne pas hésiter à chercher ailleurs... pour mon fils par exemple je n’ai pas encore fait tous les bilans nécessaires car il est encore dans un état de fragilité accrue. Je n’ai pas encore toutes les réponses mais déjà avec toutes les découvertes faites au sein de l’association je sais où je vais. Ce qui est incroyable aussi c’est qu’à travers toutes les expériences, les témoignages, les articles partagés, on se découvre nous parent, on se comprends mieux à travers tout ça...
Le chemin est long, les blessures sont profondes mais j’ai préféré tout stopper avant une catastrophe. Car comme le dit si bien la citation phare de l’association phobie scolaire : « c’est l’enfant avant l’élève » !
L'instruction en famille pour reprendre pied
C’est pourquoi en mai 2018, j’ai décidé d’instruire en famille tous mes enfants. J’ai 4 enfants, le petit dernier n’était pas encore en âge d’être scolarisé. Mais les 2 autres, à travers mes découvertes et mes compréhensions via l’association phobie scolaire, j’ai compris que les grands étaient également en souffrance scolaire. Ils ne l’exprimaient pas de la même façon mais au vu des situations et de leurs comportements tout s'est éclairé pour moi ! Mon grand d’ailleurs, une fois ma décision prise avec l’accord de mon mari, m’a exprimé son soulagement, il m’a dit « heureusement que tu m’as fait arrêter d’aller au collège sinon j’aurais pensé au suicide »...
Aujourd’hui mes deux plus grands 14 et 12 ans sont instruits en famille et suivent les cours sur Cyberclasse, des cours avec des professeurs en vidéoconférence avec des camarades de classe comme eux à distance.
Y. a repris goût dans ses apprentissages et en lui-même grâce aux kits pédagogiques « Des ailes pourapprendre » de Isa Lise (à découvrir en cliquant ici).
L’instruction en famille les a libéré d’un poids, ils reprennent confiance en eux et en leur capacité d’apprentissage, ils évoluent à leur rythme, Leur hypersensibilité est respectée et comprise... ils peuvent être eux-mêmes ! J’ai eu d’ailleurs plusieurs retour de mon entourage qui trouvait mes enfants épanouis depuis l’instruction en famille... quel soulagement de savoir que le bon choix a été pris !
Finalement cette phobie scolaire est une richesse incroyable, même si les douleurs et les souffrances sont toujours là. Rien n’est encore gagné, il y a des hauts et des bas, des bilans sont encore à approfondir pour chacun de mes enfants... C’est un chemin de découverte sur nous-mêmes et sur nos fonctionnements internes, autant pour nos enfants que pour nous-mêmes parents. C’est un continuel apprentissage... de découverte de soi !
Clic sur les liens à suivre :
Groupe Facebook Phobie scolaire
Site Phobie scolaire
Kits Des Ailes pour apprendre
Vous aussi vous souhaitez témoigner pour le blog ? N'hésitez pas à m'écrire à apprendreavecbonheur arobe gmail.com
Découvrez les nouveaux billets en vous inscrivant à la newsletter située en haut à droite du blog : clic sur "S'inscrire".
Commentaires
Enregistrer un commentaire